Franck LAUVRAY

Skipper du Mini  #346

Tel : 07 66 34 0714  mail : MT2023FL@gmail.com

FB : @franckysurlamini

site : https://sites.google.com/view/mt2021fl          

         

Il était une fois l’histoire d’un « Grand » marin (1m98) nommé Franck LAUVRAY qui avait un vieux rêve de jeunesse traverser l’océan Atlantique en solitaire...  Vœu en partie exaucé car j’ai déjà eu la chance de "transater" en équipage en 2017. 

Je suis quelqu’un de pressé et novateur,  Mon idée première était de « participer à une transatlatique sur un bateau que j’aurai construit à mon image ».  De discutions en discutions, je me suis intéressé à la classe mini 6.50,  seul vrai laboratoire de recherche de performance et d’innovation de la voile en monocoque. Mon côté très technique à l’appui,  j’ai totalement imaginé et dessiné  un prototype, sans toutefois aboutir à la phase de sa construction.  J'ai décidé d’acquérir  le numéro 346 plan Manuard / Roubinet, qui bien que fiabilisé ne demande qu’à être modernisé pour retraverser l’Atlantique. 

Un peu écolo dans l’âme, ce n’est pas dans un bateau neuf que j’ai choisi d’investir, mais dans un bateau prototype avec un bon passif. Les « Protos » représentent la catégorie reine de la Mini-transat.

Dans cette classe totalement ouverte dont les règles sont définies en seulement 15 pages, nombreuses sont les innovations qui ont pu être testées sur ce support laboratoire qu’est un Mini-transat 6.50 ( un IMOCA est la reproduction au triple d’un Mini-transat) . D’ archimèdien, il est devenu « volant» via des foils, il peut être propulsé parfois avec d’autres formes de voiles comme les ailes  type kite ou des profils épais comme ceux utilisés sur la Coupe América.

La plupart  des grands marins professionnels sont passés par l"école"  de la Mini-transat, car c’est le premier échelon du professionnalisme dans la course au large. Les plus performants naviguent aujourd’hui sur le Vendée Globe ou font partie d’équipes engagées dans le trophée Jules Verne. 


Issu d’une famille de marins, j’ai appris à lire et faire de l’Optimist en même temps !  Puis d’année en année, les supports ont grandi. Cela fait 30 ans que je navigue en équipage, à titre amateur, parfois dans l’ombre de grands navigateurs très médiatisés. Plus jeune, j’ai également eu le plaisir de défendre maintes fois les couleurs nationales (voir mon palmarès).

Depuis 3 ans je m’entraîne au pôle Mini de La Turballe avec une quinzaine d’autres régatiers, tous ultra motivés et émulés par la synergie d’un pôle d’entraînement.  Cette structure nous permet de progresser  d'une manière sereine  afin de  nous confronter    au minimum à 1500 nautiques en régate plus 1000 nautiques en parcours imposé sans assistance et sans escale : conditions sine qua non pour être sur la ligne de départ aux Sables-d’Olonnes le 24 septembre 2023. 

La Mini-transat nous fera parcourir 4050 miles nautiques via les îles Canaries.

Un tel projet sur 2 ans demande d'importants moyens financiers évalués à 150 000 à 200 000 euros. La position du curseur déterminera une partie du résultat final.

Pourquoi un tel budget ? Il correspond au financement de  2 années d’entraînements avec un circuit semi-pro de compétitions sur toute la côte atlantique qui s’achèvera par ce Graal de la course au large qu'est  la  Mini-transat ! 

Voiles, électronique, accastillage, matériel de sécurité, avitaillement et hébergements au cours des jours précédents toutes les épreuves font grimper la note !

Qu’est ce qui fait que cette compétition fonctionne à guichet fermé avec 84 bateaux ? 

La « Mini » dans une vie de marin peut être le début d’une carrière professionnelle, ou comme un aboutissement,  ce qui est mon cas.


Toutes les manifestations d’aventuriers à la recherche d’un  nouveau défi fascinent et galvanisent. La Mini-Transat est une course très médiatisée qui permet de faire une communication positive, vecteur de cohésion et elle fait rêver le monde entier. Elle nous fait traverser l’océan Atlantique en solitaire sur un bateau ridiculement petit de  6,5 m de long, inhabitable mais voilé comme une planche à voile de course... Nous atteignons des vitesses fabuleuses de 20 nœuds permettant ainsi  de traverser l’Atlantique en moins de 3 semaines car nos machines sont de vraies petites « mobylettes ».


Alors embarquons ensemble sur # 346 pour participer étape par étape à ma traversée de l’ Atlantique en solitaire dès le 24 septembre 2023. Une belle aventure de défis à partager.

Vous pouvez me suivre sur Facebook également, je vous invite à me « liker » de suite :

https://www.facebook.com/franckysurlamini/

En me sponsorisant, je serai plus qu'un support de logos  je deviendrai votre ambassadeur pour faire voyager votre marque, l’image de vos produits et les valeurs qui sont les vôtres. 


 A très vite…

Francky.

51ans, marié

3 enfants,


Responsable de maintenance dans une Imprimerie 

Palmarès :


Vainqueur du spi ouest 1991, 1992, 2010

Vainqueur du RORC en 1991 et 1992

Vainqueur du Fastnet en 1991

Champion europe en 6mji en 1994 et 1995

Participation à l’Amiral’s Cup en 1999

Nombreuses participations aux commodore’s CUP

Equipier en 12mji dans différentes équipes depuis 2006 (Challenge 12, Kookaburra 3, France 1)

Participation continue depuis 2007 sur le circuit français de Dragon

Participation à de nombreuses épreuves niveau mondial (en J24, J80, Dragon, 12mJI)

participation au circuit mini 2021 dont la Minitransat



Vous Verrez dans la video suivante tous les Grand Noms de la voile dont Clement GIRAUD à fait la Mini sur mon Bateau en 2005 

Dans cette vidéo vous comprendrez l'engagement qui est nécessaire pour vivre un tel événement